- EAN13
- 9782724686746
- Éditeur
- Presses de Sciences Po
- Date de publication
- 06/09/2007
- Collection
- Bibliothèque du citoyen
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La mondialisation provoque tourbillons de croissance et intensification de
flux de toutes natures – scientifiques, technologiques, démographiques,
économiques, culturelles. La dynamique des réseaux tend à l’emporter sur le
contrôle des territoires. Mais le monde, qui est aussi un lieu, est présent
dans chaque endroit de la planète. Loin d’uniformiser celle-ci, la
mondialisation n’est nullement une menace pour les positions acquises mais
elle multiplie au contraire les opportunités. Référence sur la mondialisation,
cet ouvrage d’Olivier Dollfus, inventeur dès 1984 du «système-monde »,
constitue, comme le souligne Jacques Lévy dans une passionnante préface à
cette troisième édition, l’introduction à un mode de pensée qui rend possible
une intelligence à la fois concrète et conceptuelle de la mondialisation.
Professeur de géographie à l’Université Paris-VII-Diderot, Olivier Dollfus
(1931-2005) a analysé, en Amérique andine comme en Asie, les significations
locales de la mondialisation et symétriquement, la force de projection des
sociétés à l’échelle planétaire. Grand spécialiste de la haute montagne, il a
également présidé le comité scientifique du parc national des Écrins. « Le
fait qu’aujourd’hui le niveau mondial puisse être un objet géographique
légitime et presque banal doit sans doute beaucoup à Olivier Dollfus »
Christian Grataloup
flux de toutes natures – scientifiques, technologiques, démographiques,
économiques, culturelles. La dynamique des réseaux tend à l’emporter sur le
contrôle des territoires. Mais le monde, qui est aussi un lieu, est présent
dans chaque endroit de la planète. Loin d’uniformiser celle-ci, la
mondialisation n’est nullement une menace pour les positions acquises mais
elle multiplie au contraire les opportunités. Référence sur la mondialisation,
cet ouvrage d’Olivier Dollfus, inventeur dès 1984 du «système-monde »,
constitue, comme le souligne Jacques Lévy dans une passionnante préface à
cette troisième édition, l’introduction à un mode de pensée qui rend possible
une intelligence à la fois concrète et conceptuelle de la mondialisation.
Professeur de géographie à l’Université Paris-VII-Diderot, Olivier Dollfus
(1931-2005) a analysé, en Amérique andine comme en Asie, les significations
locales de la mondialisation et symétriquement, la force de projection des
sociétés à l’échelle planétaire. Grand spécialiste de la haute montagne, il a
également présidé le comité scientifique du parc national des Écrins. « Le
fait qu’aujourd’hui le niveau mondial puisse être un objet géographique
légitime et presque banal doit sans doute beaucoup à Olivier Dollfus »
Christian Grataloup
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