- EAN13
- 9782253237921
- ISBN
- 978-2-253-23792-1
- Éditeur
- Le Livre de poche
- Date de publication
- 03/11/2021
- Collection
- Livre de poche
- Nombre de pages
- 192
- Dimensions
- 18 x 11,2 x 1 cm
- Poids
- 120 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
« — Vous avez raison, monsieur, nous entrons dans une zone de fortes turbulences.
— Mais… nous allons pouvoir la traverser ?
— Je l’espère. »
Jézabel, jeune enseignante de mathématiques, quitte ses montagnes de Haute-Savoie pour se rendre à Montréal. Son père, ancien pasteur et horloger amateur, lui a fait jurer, sur son lit de mort, d’aller porter à un ami au Québec la montre qu’il a conçue. Une pièce unique dont la particularité est qu’elle ne donne pas l’heure, mais… peut détruire le temps.
L’avion est pris dans une tempête et contraint de se poser en catastrophe dans un aéroport de fortune au nord des États-Unis. Il fait nuit noire, la neige tombe dru. La jeune femme trouve refuge au Plazza, vieil hôtel aux proportions démesurées. À son réveil, le cauchemar commence. On lui annonce qu’elle n’a pas séjourné au Plazza pendant un jour mais… un an !
Ainsi débute ce roman cruel où Pascal Bruckner égare son personnage, comme son lecteur, dans un univers d’inquiétante étrangeté.
Une métaphore philosophique, un conte fantastique. Anne Fulda, Le Figaro.
— Mais… nous allons pouvoir la traverser ?
— Je l’espère. »
Jézabel, jeune enseignante de mathématiques, quitte ses montagnes de Haute-Savoie pour se rendre à Montréal. Son père, ancien pasteur et horloger amateur, lui a fait jurer, sur son lit de mort, d’aller porter à un ami au Québec la montre qu’il a conçue. Une pièce unique dont la particularité est qu’elle ne donne pas l’heure, mais… peut détruire le temps.
L’avion est pris dans une tempête et contraint de se poser en catastrophe dans un aéroport de fortune au nord des États-Unis. Il fait nuit noire, la neige tombe dru. La jeune femme trouve refuge au Plazza, vieil hôtel aux proportions démesurées. À son réveil, le cauchemar commence. On lui annonce qu’elle n’a pas séjourné au Plazza pendant un jour mais… un an !
Ainsi débute ce roman cruel où Pascal Bruckner égare son personnage, comme son lecteur, dans un univers d’inquiétante étrangeté.
Une métaphore philosophique, un conte fantastique. Anne Fulda, Le Figaro.
Commentaires des libraires
Un an un jour
Jézabel doit tenir la promesse faite à son père mourant. Elle emportera la montre qu'il a fabriquée, et qui détruit le temps, à Montréal, auprès d'un horloger. L'avion atterri en catastrophe et Jézabel trouve refuge dans un hôtel mystérieux. Là, ...
Lire la suite