CD - Iberia - Albéniz
EAN13
3487720000935
Dimensions
12,5 x 14 x 1,3 cm
Poids
100 g

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12 nouvelles impressions en quatre cahiers T.105 (1905-1908) Kotaro Fukuma Né à Tokyo, Kotaro Fukuma commence l'étude du piano à l'âge de 5 ans. Il fait successivement ses études supérieures de musique au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris avec Bruno Rigutto et Marie-Francoise Bucquet, puis à l'Université des Arts de Berlin avec Klaus Hellwig, enfin à l'Académie du Lac de Côme en Italie. Il a également bénéficié des conseils de Léon Fleisher, Mitsuko Uchida, Richard Goode, Alicia de Larrocha, Maria-Joao Pires, Leslie Howard, Dominique Merlet et Aldo Ciccolini. En 2003, à 20 ans, Kotaro Fukuma remporte le 1er Prix et le Prix Chopin au 15e Concours International de Cleveland. C'est le début d'une carrière de pianiste concertiste qui le mène sur les cinq continents. Il a été invité à jouer dans des salles prestigieuses telles que Carnegie Hall, Lincoln Center à New York, Wigmore Hall à Londres, la Philharmonie et le Konzerthaus à Berlin, le Gewandhaus à Leipzig, la Salle Olivier Messiaen à Paris, le Grand Auditorium National à Madrid, la Salle Mozart à Zaragoza, le Suntory Hall à Tokyo. Il a joué également avec des orchestres réputés, l'Orchestre de Cleveland, l'Orchestre Philharmonique d'Israël, l'Orchestre Symphonique de la Radio Finlandaise, l'Orchestre Philharmonique de Dresde, l'Orchestre National d'Ile de France, l'Orchestre Symphonique du Brésil, et le Nouvel Orchestre Philharmonique du Japon. Passionné de musique contemporaine, Kotaro a créé en premières nationales ou mondiales des oeuvres de Toru Takemitsu, Mutsuo Shishido, Renaud Gagneux, Thierry Escaich, Thierry Huillet, Einojuhani Rautavaara... Iberia « D'abord incomparable : virtuose, Albéniz acquit ensuite une merveilleuse connaissance du métier de compositeur. Sans en rien ressembler à Liszt, il le rappelle par l'abondance généreuse des idées. Il sût, le premier, tirer parti, de la mélancolie nombreuse, de l'humour spécial de son pays d'origine. (Il était Catalan.) Peu d'oeuvres en musique valent El Albaicin, du 3e cahier d'Iberia, où l'on retrouve l'atmosphère d'une guitare qui se plaint dans la nuit, avec de brusques réveils, de nerveux soubresauts. Sans reprendre exactement les thèmes populaires, c'est de quelqu'un qui en a bu, entendu, jusqu'à les faire passer dans sa musique sans que l'on puisse s'apercevoir de la ligne de démarcation. Eritaña, du 4e cahier d'Iberia, c'est la joie des matins, la rencontre propice d'une auberge où le vin est frais. Une foule incessamment changeante passe jetant des éclats de rire, scandés par les sonnailles des tambours de basque. Jamais la musique n'a atteint à des impressions aussi diverses, aussi colorées, les yeux se ferment comme éblouis d'avoir contemplé trop d'images ». Claude Debussy, revue des Concerts Colonne du 29 octobre 1913 - in Revue SIM du 1/12/2013
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