Le printemps des barbares

Jonas Lüscher

Autrement

  • Conseillé par
    8 octobre 2015

    fable, philosophie

    Bon sang que le style est ampoulé et les phrases ronflantes !

    D’entrée de jeu, Preising se place au-dessus de tout ce microcosme londonien en vacances en Tunisie, les contemplant comme des extra-terrestres. Ce qui ne donne guère envie de se lier aux londoniens où à Preising.

    Et puis le coeur même du récit est long à démarrer : la « crise » ne survient qu’au milieu du livre.

    Oui, tout le monde perd la boule – sauf ce cher philosophe – et après ?

    Vous l’aurez compris, je suis complètement passée à côté de cette lecture. Même le chameau farci ne m’a pas fait rire.

    L’image que je reteindrai :

    Celle de Willy sur sa bouée gonflable au milieu de la piscine, rouge comme un homard et buvant bière sur bière au milieu des enfants qui sautent et qui crient en maillots colorés.

    http://alexmotamots.wordpress.com/2015/10/03/le-printemps-des-barbares-jonas-luscher