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Conseillé par Elisabeth T. (Libraire)17 septembre 2015
Motor City, septembre 2008
Septembre 2008, Eugène, ingénieur un peu en disgrâce, est chargé par l’Entreprise de piloter un projet industriel d’envergure.
La ville de Detroit est choisie par la Direction pour mener cette mission à bien.
Eugène sait bien que la Motor City a déjà bien souffert depuis les années 70 mais ne s’attend pas à découvrir un tel chaos urbain et social. La découverte de la ville et de ses habitants, modifieront profondément sa vision du monde.Lu par Thierry
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Conseillé par Anaïs B.27 septembre 2015
Epatant !
Détroit 2008.
A détroit en 2008 dans un contexte où la déliquescence progresse et autour de ça la population qui continue de vivre dans l'espoir d'un monde nouveau ... vraiment épatant !Anaïs
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Conseillé par Céline V. (Libraire)11 septembre 2015
Eblouissant!
Détroit 2008.
Une ville en déliquescence dans laquelle des gens continuent de vivre, travailler, espérer, aimer...éblouissant!Dewi.
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Conseillé par o n l a l u7 septembre 2015
La ville fantôme
Sept ans plus tôt. Alors que le reste du monde continue à faire l’autruche, refusant de croire à la crise annoncée, Détroit sombre peu à peu. La ville mythique des Etats-Unis est en train de faire faillite. Et c’est dans un quartier déjà presque fantôme qu’Eugène, un ingénieur, débarque pour superviser un projet automobile nommé « L’Intégral ». Logé dans une tour au pied de ce qu’ils appellent tous là-bas, « la Zone », il tente, en vain, de faire correctement son travail…car son chef ne lui répond plus depuis longtemps. Alors, pour ne pas sombrer complètement, il se rend tous les soirs au Dive In, un bar qui désemplit peu à peu et que tient Candice, une jeune fille au rire brillant et aux lèvres rouges. C’est dans cette ville aussi que vit Charlie, un jeune adolescent, qui choisit de fuir, un matin. Il laisse derrière lui sa maison et sa grand-mère pour soutenir son meilleur ami, Bill, battu par sa mère. Mais sa fuite n’est pas solitaire : à Détroit, ce sont des dizaines, des centaines d’enfants qui disparaissent chaque jour. Mais pour aller où ? C’est l’obsédante question que se pose le lieutenant Brown, en charge des dossiers. Ici, d’ailleurs, la police en sous effectifs, ne cherche même plus à arrêter les dealers. Elle patrouille pour rien. L’essence devient trop chère, les voitures sont bonnes pour la casse.
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Conseillé par Marion L. (Libraire)5 septembre 2015
Tandis que la ville se vide et que la neige tombe...
Détroit, 2008.
1ère ville fantôme moderne des Etats-Unis.L'auteur dresse avec une grande sensibilité les portraits de ceux qui sont restés, subissant les conséquences de la "Catastrophe", et de ces enfants disparus inexplicablement, dans l'indifférence générale.
Critique de la mondialisation, enquête, histoires d"amour et d'espoir, "Il était une ville" est un roman ancré dans la réalité sans oublier d'être poétique.
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Conseillé par Stéphanie F. (Libraire)27 août 2015
Saisissant !
Voilà un excellent roman à l'atmosphère forte et prenante dans un Détroit devenue ville fantôme après sa mise en faillite. Sobre et subtil à la fois, "Il était une ville" est un texte puissant et tout en justesse de par son histoire mais aussi et surtout par sa plume poétique. Une ambiance unique où Springsteen n’est jamais bien loin. Saisissant !