- EAN13
- 9782200273156
- Éditeur
- Armand Colin
- Date de publication
- 04/04/2012
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Scénarios d'avenir
Futurs possibles du climat et de la technologie
Bertrand Guillaume, Valéry Laramée de Tannenberg
Armand Colin
Autre version disponible
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Papier - Armand Colin 32,40
N’en déplaise à quelques « climato-sceptiques » isolés, l’écrasante majorité
des scientifiques s’accorde sur la réalité du réchauffement climatique.
L’heure n’est plus aux doutes : il faut combattre le mal. Mais comment ? Les
scénarios divergent.
Certains militent de longue date pour la conclusion d’un accord mondial,
juridiquement contraignant, sur la réduction des émissions de gaz à effet de
serre. D’autres balayent cette option d’un revers de main. Il serait trop tard
selon eux – ou trop coûteux – pour compter sur la simple réduction des
émissions afin d’atténuer les bouleversements qui nous attendent.
Leur solution ? Provoquer un refroidissement artificiel à l’échelle du globe,
en saupoudrant, par exemple, l’atmosphère de particules de sulfates. Comme le
montrent les auteurs, si ces options de « géoingénierie » sont parfois
crédibles, elles portent en elles de lourdes menaces climatiques,
environnementales et géopolitiques. Elles permettraient aussi à quelques
entreprises de réaliser, sur la planète, la plus gigantesque OPA de tous les
temps.
Bertrand Guillaume est maître de conférences à l’Université de technologie de
Troyes, professeur associé à l’Université de Sherbrooke (Canada).
Spécialiste des questions climatiques, Valéry Laramée de Tannenberg est
rédacteur en chef du Journal de l’Environnement, journaliste à L’Usine à GES.
des scientifiques s’accorde sur la réalité du réchauffement climatique.
L’heure n’est plus aux doutes : il faut combattre le mal. Mais comment ? Les
scénarios divergent.
Certains militent de longue date pour la conclusion d’un accord mondial,
juridiquement contraignant, sur la réduction des émissions de gaz à effet de
serre. D’autres balayent cette option d’un revers de main. Il serait trop tard
selon eux – ou trop coûteux – pour compter sur la simple réduction des
émissions afin d’atténuer les bouleversements qui nous attendent.
Leur solution ? Provoquer un refroidissement artificiel à l’échelle du globe,
en saupoudrant, par exemple, l’atmosphère de particules de sulfates. Comme le
montrent les auteurs, si ces options de « géoingénierie » sont parfois
crédibles, elles portent en elles de lourdes menaces climatiques,
environnementales et géopolitiques. Elles permettraient aussi à quelques
entreprises de réaliser, sur la planète, la plus gigantesque OPA de tous les
temps.
Bertrand Guillaume est maître de conférences à l’Université de technologie de
Troyes, professeur associé à l’Université de Sherbrooke (Canada).
Spécialiste des questions climatiques, Valéry Laramée de Tannenberg est
rédacteur en chef du Journal de l’Environnement, journaliste à L’Usine à GES.
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