- EAN13
- 9782213663968
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 02/03/2011
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Fayard 27,00
Remisé dans un grenier depuis soixante ans, ce manuscrit constitue un
témoignage historique de première importance sur l'univers concentrationnaire
et les détenus. Carl Schrade a en effet passé 11 ans dans les différents camps
de concentration du régime nazi. Arrêté en 1934 à la sortie d'un déjeuner pour
quelques propos critiques lancés à table, ce jeune ingénieur suisse décrit
avec une précision extraordinaire la vie quotidienne des détenus et de leurs
geôliers. Travaux épuisants, humiliations, crimes gratuits mais aussi
épidémies, maladies, rapports humains réduits le plus souvent à la brutalité
et à la violence. Déplacé dans les principaux camps - de Dachau à Buchenwald
ou Flossenburg - au gré des contraintes de l'effort de guerre, Schrade livre
une radiographie sans concession. Seule l'amitié de quelques camarades - dont
le grand Résistant français à qui il confiera son manuscrit - et le désir de
témoigner le font tenir. A bien des côtés, ce texte entre en résonnance avec
ceux de Primo Levi ou d’Irène Nemirovsky.
témoignage historique de première importance sur l'univers concentrationnaire
et les détenus. Carl Schrade a en effet passé 11 ans dans les différents camps
de concentration du régime nazi. Arrêté en 1934 à la sortie d'un déjeuner pour
quelques propos critiques lancés à table, ce jeune ingénieur suisse décrit
avec une précision extraordinaire la vie quotidienne des détenus et de leurs
geôliers. Travaux épuisants, humiliations, crimes gratuits mais aussi
épidémies, maladies, rapports humains réduits le plus souvent à la brutalité
et à la violence. Déplacé dans les principaux camps - de Dachau à Buchenwald
ou Flossenburg - au gré des contraintes de l'effort de guerre, Schrade livre
une radiographie sans concession. Seule l'amitié de quelques camarades - dont
le grand Résistant français à qui il confiera son manuscrit - et le désir de
témoigner le font tenir. A bien des côtés, ce texte entre en résonnance avec
ceux de Primo Levi ou d’Irène Nemirovsky.
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