- EAN13
- 9782213674124
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 12/09/2012
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - Fayard 18,00
A quatre-vingts ans passés, l’ancien conseiller de Georges Pompidou, ministre
de l’Economie et des Finances de la première cohabitation en 1986-88, Premier
ministre de Jacques Chirac en 1993-95, écrit dans ce testament politique : «
Ma vie prendra fin au début du XXIe siècle ; de celui-ci je ne connaîtrai pas
grand-chose : années des illusions perdues, sans rien qui les remplace … ». Ce
manifeste pour la liberté qui réfute les excès de l’ultra-libéralisme
s’inscrit dans la lignée de Tocqueville pour ce qui est des libertés
individuelles, mais recèle aussi une défense éblouissante du libéralisme
économique, des règles et des mesures d’équité dont il doit être assorti,
ainsi que deux discours novateurs, émanant d’un esprit souvent présenté à tort
comme conservateur : sur les libertés nouvelles appelées par l’évolution des
mœurs, sur une mondialisation jugée à la fois inéluctable, malaisée et, dans
l’immédiat, pour une Europe mal en point, aussi peu « heureuse » que possible.
Un essai qui fera date dans l’histoire de la pensée libérale en France où les
réflexions de ce niveau ne brillent pas par leur profusion.
de l’Economie et des Finances de la première cohabitation en 1986-88, Premier
ministre de Jacques Chirac en 1993-95, écrit dans ce testament politique : «
Ma vie prendra fin au début du XXIe siècle ; de celui-ci je ne connaîtrai pas
grand-chose : années des illusions perdues, sans rien qui les remplace … ». Ce
manifeste pour la liberté qui réfute les excès de l’ultra-libéralisme
s’inscrit dans la lignée de Tocqueville pour ce qui est des libertés
individuelles, mais recèle aussi une défense éblouissante du libéralisme
économique, des règles et des mesures d’équité dont il doit être assorti,
ainsi que deux discours novateurs, émanant d’un esprit souvent présenté à tort
comme conservateur : sur les libertés nouvelles appelées par l’évolution des
mœurs, sur une mondialisation jugée à la fois inéluctable, malaisée et, dans
l’immédiat, pour une Europe mal en point, aussi peu « heureuse » que possible.
Un essai qui fera date dans l’histoire de la pensée libérale en France où les
réflexions de ce niveau ne brillent pas par leur profusion.
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