- EAN13
- 9782366822557
- Éditeur
- Éditions Gunten
- Date de publication
- 19/01/2021
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Éditions Gunten 18,90
L’argent ne rachète rien, est le titre du nouveau roman de Jean-Jacques
Cambrelin. Dans un genre inédit, en plus d’un dialogue cocasse et original
entre D et d, le diable et Dieu, ces meilleurs ennemis du monde, Jean-Jacques
Cambrelin nous livre une sorte de fable moraliste dans laquelle il oppose les
pauvres et les riches.
Avec son style bien à lui, caricatural, burlesque, quasiment Vaudevillesque,
l’auteur se gargarise de cet affrontement commenté par D et d.
Sous couvert du petit prêtre, qui, pour se venger de railleries quotidiennes,
réunit le même jour, à la même heure, dans son église, deux familles, l’une
fortunée pour célébrer le mariage de leur fille, Ségolène, l’autre modeste,
pour rendre un dernier hommage à leur père, Léon, décédé.
A l’insu de tous, le père Benoit a organisé cette une auguste rencontre, une
belle farce dont l’issue réserve une sacrée surprise...
Jean-Jacques Cambrelin met, de plus belle, sa fougue et sa passion au service
des plus humbles, en décrivant, décriant et pastichant l’humanité. Un peu
éperdument, il s’en donne à cœur joie. Dans ses mots, on n’entend jamais une
résignation mais un amer comme elle le mérite !.
Les drôleries et l’humour font écho à la sincérité et à l’indignation
spontanée toujours plus exacerbées de son auteur, propageant un réel vacarme
digne d’un grand tollé pour la Justice et l’Egalité à la vie, à la mort. A
diablerie, hâblerie et demie.
Cambrelin. Dans un genre inédit, en plus d’un dialogue cocasse et original
entre D et d, le diable et Dieu, ces meilleurs ennemis du monde, Jean-Jacques
Cambrelin nous livre une sorte de fable moraliste dans laquelle il oppose les
pauvres et les riches.
Avec son style bien à lui, caricatural, burlesque, quasiment Vaudevillesque,
l’auteur se gargarise de cet affrontement commenté par D et d.
Sous couvert du petit prêtre, qui, pour se venger de railleries quotidiennes,
réunit le même jour, à la même heure, dans son église, deux familles, l’une
fortunée pour célébrer le mariage de leur fille, Ségolène, l’autre modeste,
pour rendre un dernier hommage à leur père, Léon, décédé.
A l’insu de tous, le père Benoit a organisé cette une auguste rencontre, une
belle farce dont l’issue réserve une sacrée surprise...
Jean-Jacques Cambrelin met, de plus belle, sa fougue et sa passion au service
des plus humbles, en décrivant, décriant et pastichant l’humanité. Un peu
éperdument, il s’en donne à cœur joie. Dans ses mots, on n’entend jamais une
résignation mais un amer comme elle le mérite !.
Les drôleries et l’humour font écho à la sincérité et à l’indignation
spontanée toujours plus exacerbées de son auteur, propageant un réel vacarme
digne d’un grand tollé pour la Justice et l’Egalité à la vie, à la mort. A
diablerie, hâblerie et demie.
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