- EAN13
- 9782709661263
- Éditeur
- Jean-Claude Lattès
- Date de publication
- 02/05/2018
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - JC Lattès 20,90
Accablé de chagrin après la mort de son fils, Paul Leibovitz s’est retiré dans
la solitude de la petite île de Lamma au large de Hong Kong. Mais depuis qu’il
a rencontré Christine Wu, il commence à se dire qu’une nouvelle vie est
possible.
Un jour, Christine reçoit une lettre de son frère dont elle n’a plus de
nouvelles depuis quarante ans. Paul décide alors de l’accompagner jusqu’au
village de son frère, au fin fond de la Chine, où sévit une mystérieuse
maladie neurologique.
Retrouvant ses réflexes de journaliste, Paul va chercher à découvrir les
causes de ce mal étrange. C’est ainsi qu’il apprend que le lac où les
villageois viennent régulièrement pêcher est empoisonné, sans que les
autorités ne cherchent à remédier à cette tragique pollution. Pire : elles
protègent les malversations de l’usine coupable, en laissant courir des
rumeurs à propos d’une malédiction qui pèserait sur le lac et la population
qui vit aux abords.
Mêlant l’art du suspense à une profonde humanité, dans ce style qui définit si
bien l’œuvre de Sendker, Le Langage de la solitude offre au lecteur un récit
passionnant au cœur de cette Chine contemporaine qui commence à s’ouvrir mais
dont on ignore encore tant de choses.
Traduit de l’anglais par Laurence Kiefé
la solitude de la petite île de Lamma au large de Hong Kong. Mais depuis qu’il
a rencontré Christine Wu, il commence à se dire qu’une nouvelle vie est
possible.
Un jour, Christine reçoit une lettre de son frère dont elle n’a plus de
nouvelles depuis quarante ans. Paul décide alors de l’accompagner jusqu’au
village de son frère, au fin fond de la Chine, où sévit une mystérieuse
maladie neurologique.
Retrouvant ses réflexes de journaliste, Paul va chercher à découvrir les
causes de ce mal étrange. C’est ainsi qu’il apprend que le lac où les
villageois viennent régulièrement pêcher est empoisonné, sans que les
autorités ne cherchent à remédier à cette tragique pollution. Pire : elles
protègent les malversations de l’usine coupable, en laissant courir des
rumeurs à propos d’une malédiction qui pèserait sur le lac et la population
qui vit aux abords.
Mêlant l’art du suspense à une profonde humanité, dans ce style qui définit si
bien l’œuvre de Sendker, Le Langage de la solitude offre au lecteur un récit
passionnant au cœur de cette Chine contemporaine qui commence à s’ouvrir mais
dont on ignore encore tant de choses.
Traduit de l’anglais par Laurence Kiefé
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