- EAN13
- 9782897125516
- Éditeur
- Mémoire d'encrier
- Date de publication
- 06/03/2018
- Collection
- Roman/Récit
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Jean-Claude Charles nous invite à chausser une paire de baskets, à glisser nos
empreintes dans celles que laissent ses pas. Il nous conduit au sein d’un
périple minutieusement organisé. Des États-Unis au Brésil, de Miami à New
York, de Paris à Haïti, de Berlin à San Francisco, en passant par la Côte
d’Ivoire et le Maroc, le parcours n’est pas linéaire. Il implique des allers
et des retours, on revient sur certains lieux, car une seule étape ne suffit
pas pour tout dire, pour tout voir, pour bien raconter. Charles est animé par
le désir de dresser un état des lieux du monde, entre 1986 et 1996. Une idée
maîtresse le guide : le souci constant d’être perméable, à l’écoute de ce qui
l’entoure, en respectant les équilibres et les nuances. « Comment se balader
ici sans donner des nouvelles de l’état du monde, petits romans, petits
portraits, choses vues et entendues, traversées d’histoires, se balader
n’importe où, le nez en l’air, renifler l’air du temps de Harlem, prendre le
pouls d’une humanité qui se débat, mesurer des climats, engran-ger des
fictions minuscules, comment dire Harlem sans dire trop de bêtises ? » Extrait
du prologue de Alba Pessini
empreintes dans celles que laissent ses pas. Il nous conduit au sein d’un
périple minutieusement organisé. Des États-Unis au Brésil, de Miami à New
York, de Paris à Haïti, de Berlin à San Francisco, en passant par la Côte
d’Ivoire et le Maroc, le parcours n’est pas linéaire. Il implique des allers
et des retours, on revient sur certains lieux, car une seule étape ne suffit
pas pour tout dire, pour tout voir, pour bien raconter. Charles est animé par
le désir de dresser un état des lieux du monde, entre 1986 et 1996. Une idée
maîtresse le guide : le souci constant d’être perméable, à l’écoute de ce qui
l’entoure, en respectant les équilibres et les nuances. « Comment se balader
ici sans donner des nouvelles de l’état du monde, petits romans, petits
portraits, choses vues et entendues, traversées d’histoires, se balader
n’importe où, le nez en l’air, renifler l’air du temps de Harlem, prendre le
pouls d’une humanité qui se débat, mesurer des climats, engran-ger des
fictions minuscules, comment dire Harlem sans dire trop de bêtises ? » Extrait
du prologue de Alba Pessini
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